“Le véritable maître de la soirée n’est autre que Nathalie Stutzmann, à la tête d’un Orchestre philharmonique de Radio France littéralement emporté par l’engagement de sa direction fougueuse et précise, sensible et contrastée. La contralto (qui chante toujours) devenue chef d’orchestre avec la création de son ensemble, Orfeo 55, possède en outre une belle gestuelle alliant souplesse, puissance et amplitude. Sans aucun doute le meilleur atout de cette soirée qui a porté le public au bord de l’ovation, confortant Jean-Louis Grinda dans le bien-fondé de son défi.”

“The real “master” of the evening is none other than Nathalie Stutzmann, at the head of a Radio France Philharmonic Orchestra literally carried away by the engagement of her spirited, precise, sensitive and contrasting direction. The contralto (she still sings) who became a conductor with the creation of her orchestra Orfeo 55, also has a beautiful gesture combining flexibility, power and amplitude. Undoubtedly the best asset of this evening which brought the audience to the brink of ovation, reinforcing Jean-Louis Grinda in the legitimacy of his challenge.”

Marie-Aude Roux, Le Monde

 

“La révélation de la soirée est pour nous sans conteste la direction de Nathalie Stutzmann, que nous voyions diriger pour la première fois. (…) la chef a tout pour elle : une technique appréciable dans une oeuvre où il faut coordonner un orchestre wagnérien, des choeurs considérables et des fanfares de coulisse, une gestuelle fluide et souple, un véritable lyrisme.”

“The revelation of the evening is without any doubt the direction of Nathalie Stutzmann, whom we saw conducting for the first time. (…) the conductor has it all: an appreciable technique in a work where it is necessary to coordinate a Wagnerian orchestra, considerable choirs and fanfares behind the scenes, a fluid and flexible gesture, a true lyricism.”

Christian Merlin, Le Figaro

 

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